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Comment les envois de fonds transforment les communautés africaines en 2024 et 2025

Chaque jour, des millions de familles africaines reçoivent le soutien de proches vivant à l’étranger sous forme de transferts de fonds – de l’argent envoyé par la diaspora. Ces flux sont devenus une bouée de sauvetage financière, stimulant le développement à partir du terrain. Ces dernières années, les envois de fonds vers l’Afrique ont atteint des niveaux records, dépassant l’aide publique au développement et les investissements directs étrangers dans de nombreux pays. En 2023, les pays africains ont reçu environ 90,2 milliards de dollars en transferts (environ 5,2 % du PIB de l’Afrique), soit environ le double de l’aide au développement. Cette dynamique s’est poursuivie en 2024, avec des transferts de la diaspora qui devraient dépasser les 100 milliards de dollars. Ces chiffres montrent clairement que « la migration et les transferts de fonds qui en résultent sont des moteurs essentiels du développement économique et humain », comme l’a déclaré un directeur de la Banque mondiale. Ce qui suit explore comment ces envois de fonds transforment les communautés à travers l’Afrique, en stimulant la croissance économique, en améliorant les soins de santé et l’éducation, et en encourageant l’entrepreneuriat dans des pays comme le Nigeria, le Kenya et le Ghana – et ce que l’avenir réserve pour 2025.

Hausse des envois de fonds en 2024 (dernières données)

Les envois de fonds de la diaspora africaine ont atteint de nouveaux sommets en 2024. Les données officielles indiquent que l’Afrique subsaharienne à elle seule a reçu environ 56 milliards de dollars, contre 55 milliards en 2023. En incluant les pays d’Afrique du Nord comme l’Égypte et le Maroc, les flux totaux sur le continent dépassent les 100 milliards de dollars. Le Nigeria, pays le plus peuplé du continent, reste le principal bénéficiaire. En 2024, il a attiré environ 23,4 milliards de dollars de transferts, conservant sa place parmi les cinq premiers pays récipiendaires au monde. Cette somme représente environ 6 % du PIB du Nigeria, soulignant l’importance des fonds de la diaspora dans son économie. Le Kenya a également enregistré des entrées record : les Kenyans à l’étranger ont envoyé environ 4,4 milliards de dollars, soit une hausse de 18 % par rapport à l’année précédente. Ces envois ont même dépassé les revenus d’exportations majeures du pays, comme le café ou le tourisme. Le Ghana a connu un essor similaire. En 2024, les envois officiellement enregistrés ont atteint 6,65 milliards de dollars, et en incluant les canaux informels, le total est estimé à environ 11,5 milliards. Cela signifie qu’environ un tiers des recettes en devises étrangères du Ghana proviennent des transferts de fonds, plus que les exportations de cacao ou d’or. Les transferts vers l’Afrique ont atteint des niveaux historiques en 2024, constituant un pilier économique pour de nombreux pays.

À l’horizon 2025, les perspectives restent positives. Les prévisions mondiales de la Banque mondiale indiquent que les flux de transferts de fonds vers les pays à revenu faible et intermédiaire continueront d’augmenter, avec une croissance supplémentaire de 2,8 % en 2025. Pour l’Afrique, cela suggère une expansion continue au-delà des niveaux records atteints en 2024. Dès le début de 2024, les analystes avaient prévu que les envois de fonds vers l’Afrique augmenteraient d’environ 3,7 % au cours de l’année, et l’engagement soutenu de la diaspora indique que cette trajectoire se poursuivra en 2025. Les transferts vers l’Afrique subsaharienne devraient augmenter légèrement (de 56 milliards de dollars en 2024 à peut-être 57 ou 58 milliards en 2025), à condition qu’il n’y ait pas de chocs mondiaux majeurs. En 2025, les envois de fonds vers le Nigeria pourraient approcher les 20 milliards de dollars, et des pays comme le Kenya et le Ghana s’attendent également à une hausse continue à mesure que leurs communautés à l’étranger se développent et prospèrent. En résumé, les prévisions pour 2025 misent sur une croissance régulière, confirmant que les envois de fonds resteront un pilier croissant des finances extérieures de l’Afrique.

Stimuler la croissance économique et la stabilité

Les transferts de fonds sont devenus une composante essentielle des économies africaines, dépassant souvent les investissements directs étrangers (IDE) et l’aide au développement. Les devises envoyées par les migrants renforcent les réserves de change nationales et contribuent à stabiliser les monnaies locales. Au Ghana, par exemple, les flux importants de transferts en 2024 ont soutenu le cedi (monnaie locale) et ont représenté la deuxième source de revenus extérieurs après les exportations. Au Nigeria, les fonds de la diaspora ont allégé la pression sur le naira en fournissant un flux constant de liquidités en dollars, compensant en partie la baisse des revenus pétroliers. À travers le continent, les transferts de fonds servent de tampon face aux chocs économiques. Ils ont continué à affluer même lors des crises mondiales ; en effet, ces flux sont souvent contracycliques, augmentant pendant les périodes difficiles, lorsque les migrants envoient un soutien supplémentaire. En 2023, alors que de nombreux pays africains faisaient face à l’insécurité alimentaire, à l’endettement ou aux défis de la reprise post-pandémique, les transferts de fonds ont fait preuve de résilience, soutenant les comptes courants et les dépenses des ménages malgré l’incertitude économique mondiale. Les petites économies sont particulièrement dépendantes : des pays comme la Gambie, le Lesotho, les Comores, le Liberia et le Cap-Vert reçoivent des transferts représentant entre 10 % et 20 % de leur PIB, assurant ainsi leur stabilité macroéconomique.

Ces flux contribuent de manière cruciale à la réduction de la pauvreté et à la croissance au niveau local. On estime que 75 % des transferts sont utilisés pour répondre à des besoins essentiels – alimentation, logement, services – améliorant directement le niveau de vie des ménages. En maintenant la consommation, les transferts de fonds soutiennent les entreprises locales et le commerce. Les 25 % restants sont souvent épargnés ou investis, finançant la construction de logements, les petites entreprises ou les exploitations agricoles. « La résilience des transferts de fonds souligne leur importance pour des millions de personnes », déclare l’économiste Dilip Ratha, qui souligne que tirer parti de ces flux pour favoriser l’inclusion financière et l’investissement peut améliorer les perspectives de développement des pays bénéficiaires. Les décideurs politiques en prennent conscience : la banque centrale du Nigeria, par exemple, a mis en place des programmes pour canaliser davantage de transferts vers les circuits formels et encourager les investissements de la diaspora dans des secteurs comme l’énergie et les infrastructures. En réduisant les coûts de transfert et en créant des obligations ou des fonds de la diaspora, les gouvernements cherchent à transformer les transferts de fonds en un véritable « outil de développement national » finançant l’industrie et l’emploi local. En somme, les transferts de fonds ne se contentent pas d’aider les familles à s’en sortir : ils stimulent la croissance économique, stabilisent les économies et financent un développement durable et inclusif.

Améliorer la santé et l’éducation

L’un des impacts les plus significatifs des transferts de fonds se manifeste dans les domaines de la santé et de l’éducation. L’argent envoyé par les expatriés africains permet aux familles d’accéder à de meilleurs soins de santé et à une scolarisation de qualité, ce qui génère des bénéfices durables en matière de développement. Dans de nombreuses communautés, les transferts de fonds sauvent des vies en finançant des traitements médicaux qui seraient autrement inabordables. Par exemple, les ménages nigérians utilisent les fonds de la diaspora pour payer des opérations chirurgicales, des soins de maternité et des médicaments. Au Kenya, les remises ont couvert environ 9,8 % des dépenses de santé, selon une étude, les familles utilisant une partie de ces fonds pour payer les frais de clinique et acheter des médicaments. Dans les zones rurales mal desservies par les systèmes de santé publics, les migrants à l’étranger interviennent souvent, soit en envoyant de l’argent supplémentaire pour les soins de leurs proches, soit en faisant des dons directs aux cliniques locales. Au Nigeria, les contributions de la diaspora comblent des lacunes essentielles en matière de santé. Des projets comme la recherche sur la fièvre de Lassa à l’Université de Lagos ont été financés par des Nigérians de la diaspora, tout comme des cliniques mobiles desservant des régions isolées du nord. Ces initiatives financées par les transferts améliorent la recherche sur les maladies et apportent des soins de base à des villages sous-desservis. De même, au Ghana, des philanthropes de la diaspora œuvrant dans le domaine de la santé (comme la Ghanaian-Diaspora Nursing Alliance) ont équipé des hôpitaux de matériel et soutenu des programmes de formation médicale dans leur pays d’origine. Chaque dollar envoyé pour la santé contribue à renforcer et à améliorer la condition des communautés locales.

L’éducation est un autre secteur profondément transformé par les envois de fonds. Les revenus des migrants aident à scolariser les enfants, en finançant les frais de scolarité, les uniformes, les livres, etc. De nombreux parents et tuteurs africains comptent sur les transferts mensuels de l’étranger pour maintenir leurs enfants à l’école, en particulier dans le secondaire et le supérieur, où les coûts sont plus élevés. Ce financement privé de l’éducation produit des effets positifs en cascade : taux de scolarisation plus élevés, amélioration de l’alphabétisation et, à terme, une main-d’œuvre plus qualifiée pour le pays. Certaines communautés de la diaspora vont au-delà de l’aide individuelle et financent collectivement des infrastructures éducatives. Au Kenya, par exemple, les transferts ne servent pas seulement à payer les frais de scolarité ; ils ont également été réunis pour construire de nouvelles écoles. Un exemple marquant vient du comté de Kisii, où des investissements de Kenyans de la diaspora ont financé la construction d’écoles et d’autres infrastructures pour améliorer le système éducatif local. D’autres groupes de la diaspora kenyane, notamment dans les comtés de Kiambu et Kakamega, ont levé des fonds pour rénover des écoles et attribuer des bourses, témoignant de leur fort engagement envers le développement de la jeunesse. Au Ghana, les associations de la diaspora ont une longue tradition de soutien à leurs villages natals, organisant régulièrement des collectes de fonds pour construire des salles de classe, des bibliothèques ou des centres d’apprentissage communautaires. Ces remises collectives ont permis la construction de nouvelles écoles, d’églises et même de ponts dans les villes ghanéennes, grâce à la philanthropie directe de la diaspora. En améliorant l’accès à l’éducation et à la santé, les transferts de fonds investissent dans le capital humain, garantissant une génération future en meilleure santé, mieux formée et prête à faire progresser le développement de l’Afrique.

Favoriser l’entrepreneuriat et l’investissement local

Au-delà de la consommation des ménages, les transferts de fonds servent de plus en plus de capital d’amorçage pour l’entrepreneuriat en Afrique. De nombreux bénéficiaires utilisent une partie de ces fonds pour lancer ou développer de petites entreprises, allant des exploitations agricoles et des commerces de détail aux startups technologiques. Au Ghana, il est courant qu’une famille regroupe les remises pour ouvrir une entreprise, que ce soit pour acheter un taxi pour un service de transport ou investir dans des équipements pour une petite usine. Ces micro-investissements ont un effet cumulatif : les transferts stimulent la croissance du secteur des PME, créent des emplois et diversifient les économies locales. La Banque mondiale note que, contrairement aux grands investissements étrangers qui se concentrent souvent dans les capitales ou les secteurs extractifs, l’argent de la diaspora atteint villes et villages à travers le pays, favorisant un développement plus équilibré. Par exemple, au Kenya, l’essor des transferts a alimenté une croissance du secteur immobilier et des projets d’entreprise. Des Kényans vivant à l’étranger ont investi dans des biens immobiliers, comme à Kisii, où des immeubles et hôtels financés par la diaspora sont en construction. De même, des bénéficiaires entreprenants ont ouvert des boutiques et des entreprises agroalimentaires dans des comtés comme Kakamega, utilisant les fonds de la diaspora pour dynamiser le commerce local.

L’innovation numérique est également stimulée par les transferts. Avec l’augmentation des flux, des entrepreneurs technologiques africains font appel aux réseaux de la diaspora pour financer leurs startups. Certaines entreprises de fintech et d’e-commerce au Nigeria et au Kenya ont reçu leur premier coup de pouce grâce à des proches à l’étranger envoyant de l’argent supplémentaire pour investir. Au Nigeria, on trouve des exemples de startups en med-tech et fintech où des membres de la diaspora ont agi comme investisseurs providentiels, fournissant les capitaux initiaux nécessaires au lancement. Ainsi, les transferts jouent le rôle de passerelle entre les compétences et ressources de la diaspora et les opportunités d’affaires dans les pays d’origine. Les gouvernements prennent conscience de cette dynamique et cherchent à l’amplifier. Le Nigeria et l’Éthiopie ont tous deux expérimenté des obligations pour la diaspora, des instruments d’investissement qui invitent les expatriés à financer des projets nationaux (les obligations nigérianes ont permis de lever des fonds pour les infrastructures et le logement). Malgré certains défis, ces initiatives témoignent de la volonté de transformer les transferts en une source de financement durable pour le développement. La tendance est claire : les transferts de fonds renforcent l’entrepreneuriat. En finançant d’innombrables entreprises familiales et projets communautaires, l’argent de la diaspora aide les Africains à créer leurs propres opportunités et à réduire leur dépendance à l’aide extérieure.

Histoires de réussite : comment les transferts de fonds transforment des vies à travers l’Afrique

Nigeria

L’impact de la diaspora nigériane se fait sentir dans de nombreux secteurs. Avec plus de 20 milliards de dollars envoyés au pays en 2023, et encore davantage en 2024, les expatriés nigérians contribuent activement à bâtir un meilleur Nigeria. Une part importante de ces fonds est consacrée à la santé, à l’éducation et au logement. Par exemple, les transferts de la diaspora ont permis de financer la construction de nouvelles maisons et cliniques dans des États comme Anambra et Kano, améliorant ainsi les conditions de vie. Les professionnels nigérians établis à l’étranger apportent également leur contribution à travers leur expertise et leurs ressources financières. Un groupe de médecins aux États-Unis a récemment mis en commun des fonds pour moderniser un hôpital rural dans l’État d’Enugu, essentiel pour des milliers de patients. De plus, comme mentionné précédemment, des Nigérians basés en Europe ont financé des recherches sur la fièvre de Lassa à l’université de Lagos et ont parrainé des cliniques mobiles desservant des villages reculés. Ces exemples montrent que les transferts de fonds ne sont pas de simples gestes de charité, mais bien des investissements stratégiques dans l’avenir du Nigeria. Le gouvernement, par le biais de sa Commission nationale de la diaspora, a lancé des initiatives comme un fonds d’investissement de la diaspora de 10 milliards de dollars (annoncé en 2024) pour canaliser ces flux vers de grands projets de développement. Qu’il s’agisse d’améliorer l’accès à l’électricité grâce à des kits solaires (achetés avec de l’argent de la diaspora) ou de maintenir les enfants à l’école, la diaspora nigériane contribue à résoudre des problèmes que les programmes publics peinent à surmonter seuls.

Kenya

La communauté kenyane de la diaspora est devenue un puissant moteur de développement. Les 4,4 milliards de dollars envoyés en 2024 financent tout, des fermes familiales aux projets fintech. Ce qui frappe le plus, c’est la transformation des paysages locaux : des projets de développement financés par la diaspora apparaissent partout dans le pays. Dans le comté de Kisii, à l’ouest du Kenya, les transferts de fonds ont permis un essor immobilier, avec des immeubles modernes, de nouvelles écoles et même des projets d’hôtellerie comme des hôtels. Ces initiatives améliorent les infrastructures locales tout en créant des emplois (ouvriers, enseignants, personnel hôtelier, etc.). Dans le centre du pays, le comté de Kiambu a bénéficié d’investissements similaires, des Kenyans de l’étranger ayant uni leurs efforts pour construire un centre de formation communautaire et investir dans des installations agroalimentaires. Ces actions collectives montrent les liens solides que les Kenyans entretiennent avec leur terre natale. Les remises soutiennent également de nombreuses réussites individuelles : une jeune entrepreneure à Nairobi peut lancer une startup grâce à l’aide d’une tante à l’étranger ; une agricultrice à Eldoret peut développer son élevage de volailles grâce à l’envoi d’argent de son fils. Aujourd’hui, les remises dépassent certains revenus d’exportation, et le Kenya considère sa diaspora comme un acteur essentiel de son développement. Des initiatives d’inclusion financière (comme l’intégration du mobile money) facilitent la réception et l’investissement productif de ces fonds, faisant des transferts une véritable source de prospérité.

Ghana

La contribution de la diaspora ghanéenne est tout aussi déterminante. Les remises – environ 6,6 milliards de dollars officiellement en 2024 – représentent la deuxième source de devises du pays après les exportations minières. Au-delà de leur impact macroéconomique, ces fonds transforment la vie dans les villes et villages du Ghana. Une caractéristique de l’engagement de la diaspora ghanéenne est le rôle des associations de villageois à l’étranger. Ces groupes de Ghanéens, unis par leur ville natale, collectent régulièrement des fonds pour réaliser des projets communautaires. Grâce à ces remises collectives, de nombreuses communautés ont pu accéder à des services inexistants auparavant. Dans la région d’Ashanti, par exemple, une association a financé le forage de puits pour fournir de l’eau potable à plusieurs villages. Dans la région de la Volta, un autre groupe a récolté des fonds pour reconstruire une école primaire délabrée, offrant ainsi un meilleur environnement d’apprentissage aux enfants. Ces associations ont permis la construction d’écoles, de ponts et de cliniques, témoignant d’une forte culture de générosité. À titre individuel, les remises permettent à des milliers de familles d’investir dans de petites entreprises – qu’il s’agisse d’ouvrir un salon de beauté à Accra ou d’acheter un tracteur pour une ferme familiale à Tamale. Le résultat cumulé est une activité économique plus dynamique et un développement communautaire stimulé par les fonds de la diaspora. Le gouvernement a même créé un bureau des affaires de la diaspora pour renforcer ce partenariat, reconnaissant l’importance des transferts et des investissements dans la réalisation des objectifs de développement du Ghana.

Autonomiser les communautés : le rôle des services de transfert de fonds

L’impact remarquable des remises en Afrique ne serait pas possible sans les services de transfert d’argent fiables qui relient les revenus de la diaspora aux communautés locales. Les innovations fintech et les sociétés spécialisées dans les transferts de fonds ont considérablement réduit les délais et les coûts, permettant à une plus grande part de l’argent envoyé d’atteindre les familles dans le besoin. Aujourd’hui, les plateformes numériques permettent à une infirmière à Londres ou à un chauffeur de taxi à New York d’envoyer de l’argent au Nigeria, au Kenya ou au Ghana en quelques minutes, offrant ainsi une bouée de sauvetage en temps réel. Des prestataires comme sendvalu font partie de cet écosystème essentiel, autonomisant les communautés africaines en rendant les transferts d’argent mondiaux rapides, abordables et sécurisés. En proposant des taux de change compétitifs et des frais réduits, ces services maximisent la valeur de chaque remise, augmentant ainsi son impact sur le terrain. Tout aussi important, des canaux de transfert fiables offrent une tranquillité d’esprit aux expéditeurs et aux destinataires, encourageant l’utilisation de voies officielles et limitant les risques liés aux intermédiaires informels.

Alors que les remises continuent de transformer l’Afrique, sendvalu reste engagé à connecter la diaspora avec ses proches, permettant aux migrants de contribuer à la croissance du continent à chaque transaction sécurisée. Comme l’a déclaré un auteur de la Banque mondiale, “mobiliser les remises pour l’inclusion financière” et le développement est essentiel, et c’est précisément cette mission que soutiennent chaque jour les services de transfert de confiance.

Des grandes villes comme Lagos et Nairobi aux villages ruraux du Ghana, les preuves sont évidentes : les remises de la diaspora transforment l’Afrique. Elles sortent les familles de la pauvreté, maintiennent les enfants en bonne santé et à l’école, et financent la création de nouvelles entreprises. En 2024, la diaspora africaine a envoyé plus d’argent que jamais, témoignage des liens solides entre les migrants et leur terre natale. Ces fonds construisent des écoles, soutiennent des cliniques et lancent des projets, incarnant véritablement un “développement par la base.”

En 2025, les remises joueront un rôle encore plus important dans le cheminement de l’Afrique vers la prospérité. En soutenant ce flux vital – grâce à des politiques favorables, une réduction des coûts de transfert et une implication accrue de la diaspora – les pays africains peuvent exploiter le potentiel des remises pour atteindre les Objectifs de développement durable. L’histoire des remises est, en fin de compte, une histoire d’autonomisation : la diaspora africaine qui donne du pouvoir à ses communautés. Grâce à l’engagement des expéditeurs et au soutien de services de transfert fiables, cette bouée de sauvetage continuera de se renforcer, apportant espoir et opportunité à travers tout le continent.

 

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Sources:

World Bank – Migration and Development Brief 40 (2024)

North Africa Post – Remittances from African diaspora grew in 2023, set to exceed $100bn in 2024

Vanguard/AllAfrica – Diaspora Remittances as Pathway to Sustainable Growth (Nigeria, 2024)

Paymentology – Kenya’s Remittance Lifeline (2025)

ModernGhana – The Power of Remittances: Ghana’s Expatriates and the Economy

RemitSCOPE Africa – Remittance inflows and uses in Africa

ACE Money Transfer – Diaspora Funding Healthcare in Nigeria

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